Gem Diamonds est une entreprise minière internationale actif dans le secteur diamantaire. Le siège social de Gem Diamonds est établi à Londres et l'entreprise possède plusieurs mines au Botswana et au Lesotho. L'entreprise dispose également d'autres sites à Johannesburg et Anvers. Gem Diamonds est un acteur de premier plan dans le secteur diamantaire. Ainsi, en 2018 l'entreprise a procédé à la vente du Lesotho Legend, un diamant brut de 910°carat, pour un montant de 32 million d'euros. Il s'agit là du cinquième plus gros diamant brut au monde. Inutile de dire que Gem Diamonds accorde une importance sans précédent quant à la sécurité et la fiabilité des transactions.

La vente du Lesotho Legend coïncidait avec la période de première prise de contact entre Gem Diamonds et Realdolmen. L'application d'adjudication ne répondait plus aux exigences élevées en matière de rapidité et de réactivité, surtout aux périodes de transferts importants. En outre, de nouvelles fonctionnalités devaient être ajoutées, imposant ainsi une modernisation de l'application existante.

Vente aux enchères de diamants version 2.0

La vente du Lesotho Legend coïncidait avec la période de première prise de contact entre Gem Diamonds et Realdolmen. L'application d'adjudication ne répondait plus aux exigences élevées en matière de rapidité et de réactivité, surtout aux périodes de transferts importants. En outre, de nouvelles fonctionnalités devaient être ajoutées, imposant ainsi une modernisation de l'application existante.

Une équipe de la DevOps Factory de Realdolmen a mis la main à la pâte et a conçu une nouvelle plateforme e-tender dynamique pour Gem Diamonds. Cette application permet à Gem Diamonds d'organiser des appels d'offres en ligne. Après avoir suivi un processus d'enregistrement approfondi et avoir été invités à une vente aux enchères spécifique, leurs clients peuvent émettre des offres sur des pierres précieuses. Les collaborateurs de Gem Diamonds peuvent ainsi suivre le déroulement de la vente aux enchères en direct.

Etant donné que la plupart des clients souhaitent inspecter les pierres à l'œil nu avant de faire une offre de quelques dizaines de milliers d'euros, voire plus, ils peuvent désormais se rendre à Anvers afin d'y contempler leur futur achat en personne. Les rendez-vous pour ces « viewings°» sont pris par l'intermédiaire d'un module de réservation prévu dans l'application. La facturation a posteriori est également effectuée par l'intermédiaire de cette même la plateforme e-tender.

La sécurité avant tout

Une enchère typique se compose de quelque 50 à 80 lots, chaque lot comportant une ou plusieurs pierres brutes. Ceci implique que, par enchère, des dizaines de millions d'euros sont misés et facturés. La sécurité était donc une priorité absolue dans le développement de la plateforme. Des hackers éthiques de Realdolmen se sont mis au travail pour détecter d'éventuels échappatoires et fuites. Mis à part quelques recommandations que l'équipe DevOps a rapidement implémentées, cette étape a également été franchie avec brio.

Passer à une vitesse supérieure grâce à Microsoft Azure

Le fait que la nouvelle plate-forme d'adjudication obtient de bons résultats en termes de sécurité et de confidentialité des données est dû à la sécurité Cloud stricte de Microsoft Azure sur laquelle le nouvel environnement est construit. Mais également en matière d'autres exigences formulées par Gem Diamonds quant à la nouvelle application, Azure semble offrir la réponse adéquate.

• Flexibilité: l'application doit être capable de faire face à la charge élevée aux moments de pointe du processus d'appel d'offres, et donc rester tout aussi efficace en périodes de stress. 
   
• Stabilité élevée: grâce à la disponibilité continue de la plateforme.
   
• Décharge de la gestion d'infrastructure: Gem Diamonds ne dispose pas de service informatique se chargeant de la gestion des serveurs et ne souhaite pas se charger de ceci.
   
• Évolutivité et rentabilité: sans Cloud, l'infrastructure sous-jacente doit être dimensionnée aux heures de pointe. Cela implique des surcapacités fréquentes et que l'investissement considérable se relève inutile. Le Cloud assure quant-à lui une capacité adéquate au moments de pointe. Le modèle 'pay-per-use' garantit également que le paiement n'est effectué que pour la capacité réellement requise. Cela permet aux investissements d'être transférés vers des domaines autres que l'infrastructure, tels que par exemple le développement de nouvelles fonctionnalités permettant de préparer l'entreprise à l’ère numérique.