Inetum-Realdolmen aide Arlanxeo Belgium à mettre sur pied un nouvel environnement de sauvegarde

Inetum-Realdolmen aide Arlanxeo Belgium à mettre sur pied un nouvel environnement de sauvegarde

Réaliser un tout nouvel environnement ICT : tel était le défi que devait relever l'entreprise de chimie Arlanxeo il y a quelques années. Heureusement, elle a pu compter en Belgique sur le soutien professionnel d'Inetum-Realdolmen afin de mener à bien le volet de la sauvegarde, entre autres. « J'ai été particulièrement impressionné par la flexibilité de leurs ingénieurs de support », déclare Bruno De Smet, IT Manager d'Arlanxeo Belgium.

Arlanxeo est née en 2016 sous forme de joint-venture du groupe de chimie allemand Lanxess et de la compagnie pétrolière saoudienne Saudi Aramco. Fin 2018, Arlanxeo s'est retrouvée entièrement entre les mains de Saudi Aramco. Alors que l'entreprise pouvait jusque-là encore utiliser l'infrastructure ICT globale qu'elle partageait avec Lanxess, elle devait à présent développer rapidement son propre environnement ICT. « Du réseau et des serveurs aux clients, et du système ERP au poste de travail : nous devions tout reconstruire », se rappelle Bruno De Smet.

La continuité dans la sauvegarde

« Dans le cadre de cette mission, nous avons réalisé de nombreuses modernisations importantes en quelques années », poursuit l'IT Manager. « Ainsi, nous sommes passés de Lotus Notes à Outlook et de Windows 7 à Windows 10. Nous avons quitté le centre de données de Lanxess pour un centre de données dans Azure. Et nous avons échangé notre ancien réseau MPLS contre un SD-WAN. »

Il va de soi que les différents éléments de l'infrastructure ICT d'Arlanxeo ne nécessitaient pas tous une telle modernisation poussée et radicale. L'implantation belge à Zwijndrecht, qui emploie environ 350 collaborateurs, a délibérément opté pour la continuité dans la sauvegarde de ses données de production locales. Dans un premier temps, elle a décidé de scinder purement et simplement la plateforme partagée existante de Commvault. « Nous étions satisfaits de la solution de sauvegarde de Commvault. Celle-ci joint la flexibilité à la stabilité », explique Bruno De Smet. Son expérience est que Commvault propose une technologie mature et très qualitative, qui permet une gestion très précise de l'infrastructure de sauvegarde et de récupération. 

« Nous n'avions pas de motif impérieux de changer de fournisseur de sauvegarde. Et nous n'avions pas non plus de temps en trop. » Cela a incité Arlanxeo Belgium à choisir la voie de la moindre résistance pour cette partie essentielle de son infrastructure ICT. Ce qui ne veut d'ailleurs pas dire qu'il s'agissait d'une opération simple. La séparation et la migration d'une solution Commvault existante ne s'improvisent pas, et Bruno De Smet ne l'a que trop bien compris. C'est pourquoi il a également sollicité l'aide de spécialistes externes certifiés d'Inetum-Realdolmen. 
 

Et c’est pour moi la plus grande valeur ajoutée d’un partenaire ICT tel qu’Inetum-Realdolmen : en tant que conseiller familier, ils peuvent aussi participer à la réflexion sur toutes sortes de systèmes périphériques, comme ces serveurs ESX, et nous conseiller ensuite correctement et avec compétence à ce sujet.

Bruno De Smet | IT manager @ Arlanxeo Belgium

Plus qu'une migration

Autrefois, Arlanxeo faisait directement appel à Commvault pour le support. Mais en tant que Commvault Authorized Support Partner (CASP) – un profil plutôt rare en Belgique –, Inetum-Realdolmen est aussi en mesure de fournir directement un support de première et de deuxième ligne à ses clients. Le client ne doit plus s'adresser directement à Commvault qu'en cas de graves problèmes ou de bugs dans le logiciel. « C'est particulièrement commode », explique Bruno De Smet. « S'ajoute encore à cela le fait qu'Inetum-Realdolmen se montre très flexible. Même en ces temps agités que nous connaissons depuis l'année dernière. En cas de problèmes, on peut joindre facilement leurs ingénieurs de support. Et on peut alors aussi demander à ces spécialistes de suivre ce qui se passe avec nous. Le seuil est vraiment bas. »

« Un intégrateur comme Inetum-Realdolmen peut en outre apporter une aide dans bien d'autres domaines que la migration », souligne Bruno De Smet. « Inetum-Realdolmen a par exemple aussi réalisé une mise à niveau de notre logiciel Commvault. De plus, nous avons également pu faire appel à eux pour une mise à niveau de nos systèmes de hardware. Dans la foulée, nous avons ainsi aussi remplacé nos lecteurs de bande, entre autres. Pour finir, ils étaient également impliqués dans un projet de mise à niveau de notre environnement de serveur VMware ESX. Ainsi, ils ont pu réaliser une bonne harmonisation des mises à niveau des deux environnements critiques et les refondre en un ensemble parfaitement intégré. Nous n'aurions évidemment pas pu demander cela à Commvault. Et c'est pour moi la plus grande valeur ajoutée d'un partenaire ICT tel qu'Inetum-Realdolmen : en tant que conseiller familier, ils peuvent aussi participer à la réflexion sur toutes sortes de systèmes périphériques, comme ces serveurs ESX, et nous conseiller ensuite correctement et avec compétence à ce sujet. »

Plus qu'une sauvegarde

Arlanxeo Belgium utilise Commvault uniquement pour la sauvegarde de toutes les données relatives à la production qui se trouvent dans leurs banques de données et sur leurs serveurs locaux. Les données dans le système ERP ou dans des systèmes hébergés centralement n'entrent pas en ligne de compte à cet égard. Toutes les données de production sont non seulement conservées sur un disque, mais également sur bande. « De cette manière, nous disposons aussi de la sauvegarde hors ligne nécessaire », explique Bruno De Smet. « Celle-ci peut notamment s'avérer nécessaire en cas de cyberattaques, et renforce ainsi notre sécurité. En même temps, nous pourrons redémarrer nos activités après une catastrophe.

Par le passé, Arlanxeo Belgium utilisait aussi des bandes par la force des choses, parce que l'entreprise ne disposait que d'une bande passante limitée. Heureusement, ce problème est désormais résolu. Nous pouvons à présent envisager des sauvegardes dans le cloud », anticipe Bruno De Smet.

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