Gérer une PME est déjà suffisamment difficile. Vous ne désirez dès lors pas vous prendre la tête avec des problématiques IT. Surtout que rares sont les PME qui disposent, en interne, d’un collaborateur ayant des compétences IT et moins encore d’un CIO. Political Intelligence recherchait dès lors un partenaire IT à qui pouvoir faire totalement confiance. Désormais, la société désire lui confier la totalité des activités IT. « Il faut laisser l’IT à des experts », estime sa CEO, Isabelle De Vinck.

Vidéoconférence et Skype

Political Intelligence utilisait déjà Office 365 de Microsoft. Les experts de Realdolmen en ont d’emblée pris en charge la gestion. Le changement le plus radical fut la migration vers Skype Entreprise et le matériel ad hoc. S’y sont ajoutés une série de nouveaux ordinateurs et du matériel de vidéoconférence, ce qui a eu pour effet de donner immédiatement une image beaucoup plus professionnelle à la société. Les collaborateurs du bureau bruxellois - d’autres sont implantés à Londres et à Madrid - ont reçu une formation afin de se familiariser aux nouveaux équipements. Une intégration totale fut également réalisée côté réseau - il sera même possible de répondre à la sonnette de la porte d’entrée via Skype Entreprise.

Plus aucun souci

Entre-temps, Political Intelligence est prêt à passer à l’étape suivante: Workplace-as-a-Service (WPaaS). « Une PME ne peut se permettre, financièrement, d’employer un informaticien à plein temps », explique Isabelle De Vinck. « Je ne veux plus avoir le moindre souci et j’attends de mon partenaire IT qu’il contrôle tous les aspects. Si un nouveau collaborateur est engagé, je veux qu’un portable soit prêt le jour J, avec préconfiguration du bon compte de messagerie, que l’accès au réseau WiFi soit en ordre, etc. Mais le partenaire peut également nous épauler pour de plus petites choses, comme des casques, imprimantes et ce genre de choses, en nous les mettant à disposition plutôt que de nous les vendre et de les remplacer régulièrement. J’aimerais également que les questions de support ne doivent plus être centralisées avant d’être transmises au partenaire, ce qui est actuellement nécessaire pour garder le contrôle du budget IT. Je voudrais par exemple donner un certain nombre de crédits à chaque collaborateur, ce qui lui permettrait d’ouvrir des tickets de support en toute indépendance et selon sa propre appréciation. Je ne devrais alors plus intervenir que lorsque leurs crédits sont épuisés, ce qui me ferait gagner beaucoup de temps. »

Le rêve de toute PME

Realdolmen prépare une formule de ce genre. « Mais cela implique pas mal de choses », déclare Esther Van Ham-Grave. “Il faut par exemple disposer du matériel en stock de telle sorte à pouvoir tout configurer et livrer immédiatement. De nouveaux contrats doivent être élaborés, des conventions passées sur la manière dont les données des clients peuvent être conservées, etc. » Isabelle De Vinck espère quant à elle que cette nouvelle offre arrive rapidement. « Je crois que c’est une formule dont rêve toute PME », assure-t-elle.

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