Java team

Jeunes et convoités, mais fidèles

31 juillet 2018

Vitamine R

La demande en profils ICT est supérieure à l'offre, ce qui provoque une pénurie sur le marché de l'emploi. Chaque entreprise (ICT) met tout en œuvre pour attirer les personnes possédant les compétences adéquates. Pour ce faire, il s'agit d'être aux petits soins avec les nouvelles recrues ainsi qu'avec le reste des employés. Mais comment y parvenir ?

Nous avons posé la question à cinq jeunes de l'équipe Java qui sont employés depuis un an par Realdolmen. Ils ont tous commencé comme stagiaire et sont restés avec plaisir chez nous une fois le trajet acADDemICT terminé. Nous nous sommes entretenus avec Cédric Debot, Ruben Walraevens, Valon Xhafa, Simon Pollé, Jef Anthonissen et David Hemmerijckx (coordinateur de stage Java). Ils nous ont expliqué leur attrait, l'importance des cafés et l'utilité des objectifs imposés.

Tout d'abord, comment avez-vous vécu le stage et donc votre premier contact avec Realdolmen ?

« À part Cédric, nous étions tous dans le même groupe. Une chouette ambiance est directement née et nous nous entraidions au besoin. Nous disposions de tout le matériel dont nous avions besoin et travaillions aux exercices à notre propre rythme. Nous pouvions choisir la mission de stage (selon les disponibilités) et il s'agissait d'un exercice clair et to-the-point. Un responsable de stage passait plus ou moins une fois par semaine pour s'informer de la situation. C'était suffisant, car cela permet en effet de se débrouiller seul. En principe, les responsables étaient toujours accessibles, mais comme ils n'étaient pas présents en permanence, nous devions d'abord nous en remettre à nous-mêmes. En cas de difficultés, nous recherchions d'abord une solution au lieu de directement faire appel à eux. Cette organisation a permis d'augmenter notre indépendance : en préparant sa question, on trouve souvent la solution. »

« Comme nous avons passé de nombreuses heures au sein de Realdolmen, nous avons très bien pu découvrir l'entreprise pendant notre stage. Nous avons pu nous immerger dans la culture et faire la connaissance de nombreux collègues à l'occasion, par exemple, d'un café Java : un drink informel destiné à tous les collègues Java auquel les stagiaires ne pouvaient apparemment pas non plus faire défaut. En vous promenant dans l'entreprise, vous pouvez parfaitement vous imprégner de l'atmosphère et découvrir les interactions entre les personnes. Nous avons ainsi pu remarquer que tout le monde est accessible, même les personnes qui ne sont pas responsables de vous à proprement parler. Pendant notre stage, nous avons tout simplement été traités comme des collègues, ce qui ne va pas toujours de soi. »

Gauche à droite: Jef, Ruben, Simon, Cédric, Valon

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Vous avez tous reçu la proposition de suivre un trajet acADDemICT. Vous y attendiez-vous ?

« Nous avons tous reçu la proposition de contrat portant sur un trajet acADDemICT déjà pendant le stage. Nous n'avions pas prévu que la proposition arriverait déjà pendant notre stage, peut-être après, mais pas aussi vite. Il s'agit évidemment d'une belle opportunité qu'il faut saisir à deux mains. Nous étions certains d'avoir un travail avant même d'avoir obtenu notre diplôme officiel. Pendant les trois mois de vacances qui séparaient notre stage du début du trajet, je n'ai jamais connu une période aussi tranquille. Nous avons pu profiter des vacances au maximum, comme nous ne devions pas passer du temps à chercher un travail. »

David explique que les stages sont organisés de façon à révéler clairement le potentiel de la personne pendant cette période. « En pleine war for talent, nous laissons par conséquent très rarement passer la chance de faire une belle proposition à quelqu'un. L'objectif est de faire ses preuves pendant un stage, ils doivent d'abord donner de leur personne avant de recevoir quelque chose. »

Quel est votre regard sur votre première année de travail, de quoi vous rappelez-vous ?

« Pendant la première année, vous travaillez à des objectifs fixes. Ensuite, vous pouvez décider la direction que vous souhaitez prendre et planifier librement votre futur. Nous apprécions ces objectifs définis. Ils sont une première étape et offrent un aperçu des défis qui peuvent paraître flous au cours de la première année. L'année passée, outre le travail en clientèle, nous nous sommes surtout employés à obtenir deux certificats obligatoires. Ceux-ci portent sur des connaissances de base, ils sont immanquables. Realdolmen met tout le matériel dont vous avez besoin à votre disposition pour pouvoir étudier. Ensuite, nous devons étudier par nous-mêmes, après les heures de travail. Comme nous l'avons expliqué, deux certificats sont obligatoires par an, mais vous pouvez opter pour un rythme adapté à d'autres occupations éventuelles après les heures de travail. Étant donné que les certificats traitent des connaissances de base, il s'agit également d'un investissement en soi-même. En outre, cela passe également bien auprès de clients, car toutes les entreprises ne fixent pas des objectifs à leurs juniors. Ainsi, nous mettons « Nous offrons notre savoir-faire », l'une de nos six valeurs, en pratique. »

« Nous offrons toujours tout le bagage nécessaire à la réalisation d'un certain travail. Realdolmen évalue régulièrement les certificats ou formations qui permettent de maintenir ses employés au même niveau que le monde IT en rapide évolution. Parfois, nous donnons même du coaching sur mesure. Si nous remarquons qu'une adaptation est nécessaire ici ou là, nous prenons les mesures qui s'imposent pour ramener les connaissances au niveau adéquat », explique David.

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Vous travaillez tous en externe auprès des clients. Comment ressentez-vous cette distance propre et figurée entre vous et la maison-mère Realdolmen ?

« Nous sommes confrontés chaque semaine voire tous les jours à diverses propositions d'emploi ; les juniors s'avèrent être une proie facile et attirante. L'un d'entre nous a même reçu une vidéo personnalisée sur sa page LinkedIn pour illustrer jusqu'à quel point ils peuvent parfois aller. Mais nous restons chez Realdolmen, où nous sommes à la maison depuis notre stage. Ce sentiment d'appartenance montre déjà bien qu'il n'y a pas de distance entre nous et Realdolmen. »

« Realdolmen croit déjà en nous depuis notre stage, le point zéro absolu de notre carrière. Pendant la première année, nous avons été mis au défi de nous développer et désormais nous saisissons toutes les occasions qui nous plaisent. Le plus beau là-dedans est que nous savons que nous serons soutenus dans notre démarche, choyés dans notre jeune indépendance obstinée. »

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